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Lectures, analyses et réflexions de Raphaël
12 avril 2020

Les Blancs officialisent le génocide des Africains après avoir infesté la terre comme des poux (Raphaël ADJOBI)

   Les Blancs officialisent le génocide de masse des Africains

             après avoir infesté la terre comme des poux*

Cobayes africains 2

           Pour parler comme l’auteur du fameux Discours de Dakar, je dirais que le malheur de l’homme africain c’est d’avoir toujours fait confiance à l’homme blanc ; c’est surtout d’avoir cru que leurs autorités étaient des hommes comme tous les autres. Or, quand on n’est plus doué de spiritualité – à ne pas confondre avec la religiosité - et du sens aigu de la sacralité cosmique, quand on a osé clamer que l’Afrique n’est pas sa mère, quand on a osé dire, comme Athéna, «je n’ai pas eu de mère pour me donner la vie», on n’est rien d’autre qu’un monstre ; un monstre échappé du berceau de l’humanité. Voilà ce que sont les Blancs qui gouvernent le monde.

Tests en Afrique

          Tous les scientifiques savent très bien que depuis plus d’un siècle et demi les Africains servent de cobayes aux chercheurs européens de manière clandestine ou sous de faux prétextes. Partout sur ce continent, très nombreux sont ceux de plus de cinquante ans qui portent sur leur corps les multiples traces des vaccinations ou tests pour les produits pharmaceutiques du monde. Dans de nombreux villages africains, il n’est pas rare de voir des dizaines d’enfants handicapés suite à une vaccination ou injection de quelque produit inconnu des populations . Mais laissons de côté ce crime qui n’en est pas un aux yeux de l’Europe et abordons ses préoccupations actuelles. 

L'Afrique vaccinée

          Pourquoi l’Europe panique et réclame un génocide de masse des Africains

          Sur la base de la projection de l’ONU disant que dans les années 2050 la population de l’Afrique – 1,3 milliard de personnes aujourd’hui – se situerait autour de 2,5 milliards et avoisinerait les 4,4 milliards d’habitants en 2100, les Blancs sont entrés dans une folle panique ! Surtout qu’ils savent que dans le même temps, selon l’institut Xerfi, d’ici 2050 – dans 30 ans – l’Europe va perdre 49 millions de personnes. Mais que valent réellement les projections et les statistiques ? Nous savons tous qu’on peut leur faire dire une chose et son contraire. En tout cas, devant ce qu’ils qualifient de «catastrophe démographique» ou de «suicide démographique», les Blancs estiment qu’il leur faut trouver une solution. Mais laquelle ? Solutionner le fait de ne pas être suffisamment nombreux sur leur continent ou celui de devoir nourrir les Africains comme le soutiennent certains ? Perdus dans leurs propres conjectures, ils ont pris leur décision et l’ont officialisée à la fin du mois de mars 2020 par la voix du docteur Jean-Paul Mira du service réanimation de l’hôpital Cochin à Paris : il faut débarrasser l’Afrique des populations inutiles afin de faire de la place aux Blancs ! Là-bas, dit-il, "ils (les Africains) n'ont pas de masque, pas de traitement, pas de réanimation ; ils sont hautement exposés et ne se protègent pas". En d'autres termes, la pandémie du Coravirus est une occasion à saisir pour mettre ce plan en marche.

Le lait de l'Afrique 3

          Il convient cependant de dire qu’au regard de la réalité de l’occupation des continents par les populations humaines et des ressources dont elles disposent, ces alarmes sont fallacieuses. Nous avons démontré dans un précédent article – avec un tableau à l’appui – que les Européens sont à l’étroit sur leur continent alors que l’Afrique, trois fois plus grande que l’Europe, est largement sous-peuplée. D’autre part, il serait bon de se poser cette question : pourquoi la population du continent asiatique, qui a déjà atteint les 4,5 milliards d’habitants, n’inquiète-t-elle pas les Européens ? Et pourquoi l’augmentation de la population africaine, largement en deçà de celle de l’Asie et de l’Europe inquiète-t-elle principalement les Français ? La réponse est claire : parce que ceux-ci ont écrit dans un rapport non confidentiel que «l’Afrique est l’avenir de la France» et par voie de conséquence celui de l’Europe (Le Monde, 5/01/2017, www.lemonde.fr). Que ceux qui clament que l’Europe ne pourra pas nourrir tous les Africains sachent ceci : c’est l’Afrique qui nourrit l’Europe depuis près d’un siècle ! Il suffirait, pour ses besoins vitaux, que la seule Côte d’Ivoire récupère les immenses terres qui fournissent à la France le caoutchouc nécessaire à la fabrication des pneumatiques de ses automobiles pour que celle-ci soit asphyxiée ! Rien que cela ! Il suffirait que le Congo (RDC) soit maître de tout son territoire pour que toutes les technologies de l’Europe se mettent à balbutier ! Rien que cela ! Il convient aussi de retenir que par le passé, l’Europe n’a jamais disposé de moyens suffisants pour nourrir ses propres populations. Un simple coup d’œil sur les terres du monde que les Blancs occupent aujourd’hui, après avoir fui l’Europe, suffit pour s’en convaincre. Une indéniable vérité que beaucoup parmi nous ont tendance à oublier ! Laissons donc de côté les analyses économiques et démographiques pour nous intéresser à l’officialisation de la volonté des Européens – par la voix de la France - de faire des populations africaines des cobayes, au même titre que des souris ou des lapins, avec la ferme intention de favoriser leur disparition.

                                            L’expérience des Blancs en génocide de masse

Les autochtones d'Australie

          Évidemment, aborder cette volonté européenne qui choque l’Afrique entière nous oblige à faire un détour par l’histoire et rappeler ceci : le génocide de masse représente l’arme de prédilection des Blancs ! Entre le XVIe et le début du XXe siècle, au moment où "ils infestaient la terre comme des poux"* (Louise Erdrich, LaRose), ils ont usé sans discontinuer de cette arme. Ils ont exterminé les autochtones du nord au sud du continent américain – travail à poursuivre parce qu’inachevé aux dires du président brésilien actuel, Bolsonaro ; ils ont exterminé les Hereros dans la partie sud de l’Afrique ; ils ont exterminé les autochtones d’Australie ; ils ont exterminé les Bamilékés au Cameroun ; ils ont décapité et mutilé des milliers de personnes au Congo ; ils ont brandi des millions de têtes au sommet des pieux pour l’exemple sur tous les continents. Oui, partout où l’homme Blanc s’est implanté après avoir quitté sa terre européenne d’origine, il s’est montré génocidaire ; c’est-à-dire qu’il a manifesté sa réelle volonté d’exterminer des populations pour leur confisquer terres et richesses. Tous ces crimes passaient pour la victoire de la civilisation contre la barbarie. Puis est arrivé une période où, peut-être voyant la réussite de certains Noirs, malgré les brimades qu’ils leur infligeaient, les Blancs ont commencé à avoir honte d’une partie des leurs. A partir du milieu du XIXe siècle, estimant certaines populations blanches indignes de la race blanche qu’ils voudraient pure, de grands théoriciens s’élevèrent parmi eux pour trier et établir la liste de ceux qui ne sont pas tout à fait Blancs et dont la disparition pourrait être envisagée. 

          Ce fut la grande époque de l’eugénisme : théorie mettant en place des méthodes et pratiques afin de sauvegarder le patrimoine génétique des Blancs jugés purs. L’Anglais Karl Pearson pensait que la protection et l’amélioration de la «race» pure passait «principalement par le biais de la guerre avec les races inférieures (blanches)». Ainsi, au début du XXe siècle, 60 000 personnes ont été stérilisées de force aux États-Unis et 63 000 suédois ont été les victimes de cette «épuration de la race blanche» (Nell Irving Painter, Histoire de des Blancs, Max Milo, 2019). Pour éviter «Le déclin de la race (blanche)», l’Américain Madison Grant proposa le génocide de masse ! Le résultat, nous le connaissons : le génocide des Juifs par les Allemands, avec la collaboration des Français, entre 1940 et 1944. Après la seconde guerre mondiale, les Blancs abandonnèrent la valorisation de leurs théories eugénistes. Quiconque en parlait était accusé d’être un nazi ou un anti-juif. L’eugénisme était devenu un tabou ; le génocide des Juifs étant élevé parmi eux comme le plus grand crime de l’humanité ! Un génocide de Blancs sur d’autres Blancs passe bien entendu pour le crime le plus abominable aux yeux de tous les Blancs. Quant aux génocides perpétrés contre les peuples étrangers, ils ne sont que peccadilles, «un partage de culture» (François Fillon). Aujourd’hui, proclamer le génocide des Noirs par la vaccination – jusque là clandestine ou sous de faux prétextesne semble plus choquant pour les nombreux Blancs dispersés sur tous les continents de la terre.

                                             Du racisme décomplexé au génocide décomplexé

L'union sacrée des Blancs sept 1868

          En effet, si depuis une dizaine d’années les autorités européennes et bon nombre de partis politiques assurent bruyamment être envahis par les populations africaines, ils n’osaient pas encore clamer la solution radicale qui leur trottait dans la tête parce qu’elle leur évoque toujours le génocide des Juifs. Mais avec le temps, les théoriciens de cette méthode radicale ont le sentiment que les populations blanches d’Europe et des autres continents ont suffisamment intégré l’idée que la survie de la race blanche passe par la mort des Africains. L’heure de l’union sacrée des Blancs contre les Noirs a enfin sonné ! Aussi, saisissent-ils la pandémie du coronavirus pour dire à haute et intelligible voix que l’occasion est belle et qu’il ne faut pas la rater. Retenons que les excuses de ces deux hommes qui ont annoncé cette proclamation n’annulent pas le projet qui est bien mis en œuvre sur le continent africain sous l’égide de l’OMS financé par les lobbies occidentaux.

          Et pourtant la vraie solution pour «sauver» la race blanche existe : il suffit de rappeler sur le continent européen tous ceux qui en sont partis pour fuir la pauvreté au XIXe et au début du XXe siècle, ou qui en ont été expulsés parce que jugés par le passé indignes d’être des Blancs. Il suffit aussi de tourner le dos au matérialisme contraignant les couples à se contenter d’un ou deux enfants. Il suffirait surtout de prendre des mesures pour encourager les naissances. N’est-ce pas sous les cieux de l’Europe que l’on clame que l’on ne peut pas à la fois avoir le beurre et l’argent du beurre ? Aujourd’hui, tous les Africains savent que les Européens qui parlent de la surpopulation ingérable de leur continent ne sont pas crédibles. Mais il appartient à leurs dirigeants de comprendre que c’est quand le patron est faible que l’on profite de l’occasion pour s’affranchir de son joug et non pas quand il est en pleine possession de ses facultés et de sa crédibilité. La crise du coronavirus vient de démontrer la faiblesse de l’Europe et le caractère illusoire et suicidaire de son système économique qu’elle impose au monde depuis un siècle et demi. Il est temps que l’Afrique se décolonise ! 

Population U

 

 

Raphaël ADJOBI

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Commentaires
S
Non, chère Liss, la santé n'est pas le souci premier des politiques européens soumis à l'empire des laboratoires pharmaceutiques. Nous ne devons pas perdre de vue notre histoire avec l'Europe, pour apprendre à marcher avec nos compatriotes blancs. Les Antillais adaptent leur obéissance au pouvoir français en se référant aux mesures passées qui les spoliés, empoisonnés, ou encore humiliés.
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L
Je ne me souviens pas avoir lu cet article, Raphaël, et dire qu'il date de l'année dernière ! Tu sais si bien montrer le dessous des choses, arguments à l'appui. Pour donner un autre exemple de cette santé à géométrie variable qui en réalité est à la remorque des intérêts économiques, j'ai encore en mémoire les débats autour des médicaments contre la malaria, que les Africains consomment depuis des décennies sans que cela ne choque ou ne dérange personne, et quand ces mêmes médicaments sont proposés en Occident parce qu'ils sont jugés efficaces contre le Coronavirus, soudain ces médicaments posent problème. Donc quand les Africains les prennent, c'est bien, mais quand il faut que ce soit des Occidentaux qui les prennent, ils ne sont plus bons. Et pour revenir à la malaria, lorsque la nature fournit gratuitement un traitement, l'OMS pose son veto, obligeant la population à prendre obligatoirement les traitements sortis des laboratoires pharmaceutiques, et donc qui enrichissent l'Occident, alors que des plantes qui poussent à profusion dans la nature coûteraient cent fois moins aux Africains. Ainsi, il apparait clairement que la santé n'est pas le souci premier des pouvoirs politiques : tout est et a toujours été une question d'intérêts...
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